Étiquette : imprimante 3D

Imprimante 3D K8200 à nouveau en service

A l’école, nous avons deux imprimantes 3D: une Velleman K8200, que j’ai construite il y a plus de deux ans et sur laquelle j’ai fait mes premières armes. Ensuite, nous avons acquis une Ultimaker 2. Dès lors, la K8200 n’a plus fonctionné. Mais avec la multiplication des projets, nous commençons à ne plus réussir à suivre avec une seule imprimante 3D. C’est pourquoi la K8200 a été remise en service pour les pièces les plus grosses, qui ne nécessitent pas une finition particulièrement fine. Et rien à dire: l’ancêtre fonctionne toujours aussi bien!


Déboucher le nez de l’Ultimaker 2

Ou comment régler un problème de sous-extrusion.

Depuis quelque temps, il m’était impossible de sortir une impression propre de l’Ultimaker 2 de l’école. Dès la 3e couche, la matière manquait et il en résultait une pièce qui ressemblait plus à une éponge qu’à un solide. Ce phénomène est appelé sous-extrusion, et il peut avoir de très nombreuses causes. Le site ideato3d.be a réalisé une très bonne page expliquant les différentes causes de sous-extrusion, en particulier pour l’Ultimaker 2.

Le problème, c’est de découvrir la cause. Dans mon cas, le filament sortait toujours du nez, j’ai donc conclu qu’il n’était pas bouché. Je me suis alors orienté vers l’extrudeur, que j’ai entièrement démonté, révisé, remonté, non sans avoir réglé la tension sur le filament. Sans succès.

J’ai aussi essayé avec un filament flambant neuf, sortant de son sachet sous vide avec le gel dessinant; mon filament était peut-être humide. Ce n’est pas cela non plus.

J’ai donc décidé de me concentrer à nouveau sur le nez, en appliquant la méthode Atomic, issue de ce tutoriel: http://www.ideato3d.be/tutoriels/buse-bouchee-que-faire/, lui-même issu du tutoriel original d’Ultimaker.
Il s’agit de retirer le tube de teflon de la tête d’impression, d’y introduire manuellement un filament, de chauffer le tout à 220°C ou 230°C, d’éjecter par le nez un peu de filament, avant de refroidir le tout entre 85°C et 90°C. A ce moment, il faut retirer d’un coup sec le filament. Il emporte avec lui les résidus qui peuvent potentiellement boucher en totalité ou partiellement le nez.
J’ai réalisé la manipulation trois fois (une fois à 88°C, une autre à 87°C et enfin à 86°C). Le résultat ne s’est pas fait attendre! La nouvelle impression n’avait plus rien à voir avec ce que je sortais jusque là! Voilà un avant-après:


Projet de support pour Apple TV

Double projet de supports pour Apple TV pour l’école, réalisés à l’imprimante 3D. Le premier est pour être fixé à la potence qui soutien le beamer à courte focale. Le second sera vissé au mur. Temps d’impression estimé pour le premier support, sur l’Ultimaker 2: 9 heures. Coût de la matière: 4.50 CHF.

Pour fixer les AppleTV, nous sommes face à un problème: pour éviter les vols, il faut des supports en métal, qui sont en fait des vraies cages de Faraday et qui perturbent ainsi les communications en WiFi avec la borne. Le plastique, lui, peut être cassé. Il va falloir jouer sur le taux de remplissage du plastique pour augmenter la solidité, et éventuellement avec la matière: plastique renforcé de fibres de carbone ou fibres de verre? Nylon? Enfin, l’important est qu’il faille casser quelque chose pour voler l’AppleTV = effraction. Ça change pour les assurances. Les risques de vol sont relativement faibles, de toute façon; l’idée est surtout de fixer l’AppleTV à un endroit pratique, pour ne pas la laisser trainer sur les bureaux parfois déjà bien encombrés des enseignants.

Une fois les supports testés, ils seront librement accessibles sur Thingiverse.com.


Un robot Arduino pour moins de 10€

Voici un petit projet sympathique pour nos cours Arduino: un robot Arduino pour moins de 10€.

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En plus, le châssis et les roues pourraient être imprimées avec notre imprimante 3D Ultimaker 2! Voilà un projet sur lequel je vais travailler.


Drumbot T800

Ma collègue Blandine, enseignante de musique, aimerait que ses élèves chantent 1492, Conquest of Paradise pour la chantée de Noël. Pour cela, il lui faut un rythme à la caisse claire. Elle m’a mis au défi de créer un robot qui joue du tambour; pas une simple boîte à rythmes, mais un vrai robot qui joue d’un vrai tambour. C’est ainsi qu’est né le projet Drumbot T800.

Entendons-nous tout de suite sur un point: cela aurait été un projet idéal à réaliser avec des élèves, si le concert avait eu lieu en fin d’année scolaire. Mais pour le 15 décembre, avec des élèves qui débutent tout juste à la programmation sur Arduino, le délai était trop court. Je me suis donc chargé de la création et de la conception du robot.

Après plusieurs essais, je me suis basé sur le génial projet de Randolfo sur Instructables.com. Et après d’importantes modification et adaptations, voici le résultat:

Deux Arduino Uno, un Motor Shield et un Gemma d’Adafruit, deux moteurs de verrouillage centralisé de voiture, une structure réalisée par la découpeuse laser du FabLab Fribourg et bien sûr une caisse claire!

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[Imprimante 3D]: réaliser des emporte-pièces pour faire des biscuits de Noël ou des bijoux en pâte Fimo

Qui n’a jamais voulu réaliser ses biscuits de Noël personnalisés ou voulu transformer une jolie silhouette trouvée sur Internet en moule? Aujourd’hui, avec l’imprimante 3D, c’est possible et même simple à faire. Et voici le résultat:

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L’activité repose sur le site cookiecaster.com.

Cliquer ici pour télécharger le tutoriel complet.

Tutoriel imprimante 3D à l'école


Formation Impression 3D pour l’école

J’ai le plaisir de vous annoncer que je donnerai deux formations pour débutants à l’impression 3D, coorganisée avec l’association eMitic.ch:

Impression 3D dès la 7H (Module 1+2)

 

Module 1: Introduction à la modélisation 3D: je créé des objets 3D avec SketchUp et je les imprime: le porte-clés et le jeton de caddie. Destiné à tous les enseignants qui désirent créer des objets en 3D facilement, puis les imprimer. L’’activité est réalisable avec des élèves de 7 à 11H. Les enseignants des classes en dessous de 7H peuvent suivre ce cours pour apprendre à modéliser les objets qui leur sont nécessaires.

Module 2 (modules 1 obligatoire): J’’imprime des objets sur l’’imprimante 3D Ultimaker 2. C’’est le plat de résistance. Vous apprendrez à imprimer sur notre meilleure imprimante 3D de manière autonome. C’’est beaucoup plus simple qu’’on ne le croit! Cette imprimante 3D peut être transportée dans les classes des collèges du primaire à certaines périodes.

  • Intervenant : Frédéric Genevey
  • Quand : 11 novembre 2015 14h à 16h30
  • Où : Ecublens – Salle SRO (bâtiment Saturne)

 

Impression 3D pour le primaire (Module 3+4)

 

Module 3: L’’impression 3D de 1H à 6H: mes élèves dessinent des emportes-pièces de biscuits de Noël que j’’imprime ensuite en 3D. Il est aussi possible de réaliser des emporte-pièces personnalisés pour la pâte Fimo, la pâte à sel, la porcelaine froide.

Module 4 (modules 3 obligatoire): J’’imprime des objets sur l’’imprimante 3D Ultimaker 2. C’’est le plat de résistance. Vous apprendrez à imprimer sur notre meilleure imprimante 3D de manière autonome. C’’est beaucoup plus simple qu’’on ne le croit! Cette imprimante 3D peut être transportée dans les classes des collèges du primaire à certaines périodes.

  • Intervenant : Frédéric Genevey
  • Quand : 25 novembre 2015 14h à 16h30
  • Où : Ecublens – Salle SRO (bâtiment Saturne)

 

 

Pour vous inscrire, vous devez vous connecter au site, ce qui vous permettra de facilement, par la suite, consulter ou annuler votre/vos inscription(s).

Afin de faciliter notre organisation, nous vous prions de vous inscrire au plus tard 3 jours avant l’atelier, et ne pas oublier de vous désinscrire si vous ne pouvez y participer.

Les non-membres peuvent s’inscrire en utilisant le nom : « ateliers » et mdp: « ateliers ». Ils peuvent payer 30.- par atelier ou choisir de s’affilier à eMITIC pour 30.- par an.

Une attestation de formation continue sera délivrée aux participant-e-s.


Où acheter en Suisse le Scotch-Blue 2090 pour imprimante 3D?

Dans l’impression 3D, on utilise la bande à masquer 3M Scotch-Blue 2090 afin de recouvrir le lit d’impression et favoriser son adhésion. Si on utilise cette bande adhésive en particulier, c’est parce qu’elle a de nombreux avantages: elle se décolle sans résidus et facilement, même après plusieurs semaines, elle résiste aux températures des lits chauffants et les impressions adhèrent bien dessus.

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Il y a encore quelques mois, la bande à masquer 3M Scotch-Blue 2090 ou 2089 était facile à trouver dans les DIY suisses. Mais depuis, tous ont remplacé la marque 3M par la marque suisse Tesa. Non seulement cette dernière est plus chère, mais elle est inutilisable dans le cadre de l’impression 3D. Le Scotch Blue 2090 est quasi introuvable en Suisse, sauf par correspondance (chez Conrad.ch, par exemple), avec des frais de port prohibitifs. De plus, on ne trouve en général que du 25mm de large, alors qu’il existe de très pratiques 38 et 48mm.

J’ai finalement résolu ce problème en commandant chez Amazon.fr. Le prix de la livraison en Suisse (7€) est intégralement compensé par l’annulation de la TVA française de 20%.

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Liens vers les différents modèles de Blue-Scotch 2090:

(Liens sponsorisés)


Lettre d’information « imprimantes 3D et école » – avril 2015

Avec du retard, voici la lettre d’information « imprimante 3D et école » d’avril 2015. La lettre d’information de mai va arriver tout prochainement,

 

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Comparatif K8400 – Ultimaker 2: test d’impression

vsIl est temps de passer à un test comparatif d’impression entre la Vertex K8400 et l’Ultimaker 2. Afin de comparer ce qui est comparable, j’ai utilisé deux filaments semblables: le PLA orange de RepRap Austria, en 2.85mm pour l’Ultimaker 2 et en 1.75mm pour la K8400. Il s’agit d’un filament d’entrée de gamme, que j’utilise pour mes prototypes. Je réalise naturellement la même pièce sur les deux imprimantes, en utilisant Cura dans les deux cas. La hauteur de couche est aussi similaire, réglée à 0.1mm. La différence tient au fait que l’Ultimaker utilise les réglages par défaut de Cura, alors que pour la K8400, j’optimise depuis 3 mois ces réglages.

Comme modèle, j’ai choisi le robot qui sert de logo à Ultimaker. Il a été  imprimé à l’échelle 1:1 et sans support, avec un taux de remplissage de 20%.

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Voici les résultats:

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Le rendu est relativement similaire. La K8400 donne un résultat un peu plus lisse, mais l’Ultimaker est plus régulière. Pour ce qui est des mains, il est pratiquement impossible de les imprimer sans support. Mais l’Ultimaker 2 s’en sort mieux que la K8400 grâce à ses deux ventilateurs au niveau de la tête d’impression. Il est difficile de départager les deux; les résultats sont proches et chaque impression a des petits défauts, mais rarement les mêmes!

 

En conclusion, avec plus d’expérience et des réglages plus fins, l’Ultimaker 2 a encore un gros potentiel de progression, là où je commence à stagner avec la K8400. Il n’en reste pas moins que je suis très fier du travail accompli sur ma petite imprimante à 600.-. Sa qualité n’a rien à envier à une imprimante à 2500.-! Ceux qui achètent une K8400 partent sur une bonne base.


Comparatif K8400 – Ultimaker 2: le chargement-déchargement de filament

vsSi tant la Vertex K8400 que l’Ultimaker 2 sont très similaires par leur fonctionnement, avec un extrudeur de type Bowden et une architecture semblable, certains points diffèrent, à commencer par le chargement-déchargement du filament.

Chargement du filament:

Dans le cas de la K8400, la bobine est fixée de côté, de même que l’extrudeur. Il faut y insérer manuellement le filament de 1.75mm jusqu’à le voir apparaître dans le tube de teflon. Ce n’est qu’à ce moment que l’imprimante chauffe la tête et charge le filament. L’Ultimaker 2 commence par chauffer la tête, puis effectue un retrait d’un éventuel filament, avant de mettre en route lentement l’extrudeur dans le sens du chargement. On y insère alors un filament de 2.85 à 3mm. Il faut ensuite enfiler le filament dans l’extrudeur, le pousser fortement jusqu’à ce qu’il soit pris en charge par la roue crantée. Alors seulement, on valide l’action sur le bouton de contrôle. Le filament est à ce moment rapidement entraîné dans le tube de teflon jusqu’à la tête.

Problèmes rencontrés:

Velleman K8400: si le filament est courbe, il est souvent difficile de le faire passer à travers l’extrudeur. Il faut le rendre le plus droit possible, ou le guider dans l’extrudeur à l’aide d’un petit tournevis.

Ultimaker 2: le fait d’avoir mis la bobine derrière l’imprimante rend son accès très difficile, en particulier dans un espace restreint. Il faut pouvoir tourner en partie l’imprimante, gérer ce qui se passe à l’arrière tout en gérant le bouton à l’avant. Pour le coup, c’est une fausse bonne idée. Un autre problème rencontré: une fois le filament arrivé à la tête, on entend l’extrudeur qui patine. Le filament n’avance alors plus. La solution est simple: l’aider en le poussant dans l’extrudeur.

Retrait du filament:

Le retrait du filament est similaire sur les deux imprimantes: la tête chauffe d’abord, avant que l’extrudeur ne se mette à tourner en marche arrière afin de retirer le filament. Ce qui surprend sur l’Ultimaker 2, c’est la vitesse de retrait, très rapide. On a intérêt à être prêt à enrouler la bobine en même temps que le filament revient, sinon on se retrouve avec du filament partout sauf sur la bobine. Sur la K8400, tout se fait plus tranquillement… peut-être trop tranquillement, ce qui provoque dans certains cas un blocage du filament dans la tête… et nécessite un démontage de cette dernière.

La bonne idée

Sur la K8400, la bonne idée se situe au niveau des supports de bobine, montés sur roulements à billes.

Sur l’Ultimaker 2, grâce à l’alimentation 24V/210W, la tête chauffe très rapidement, ce qui rend le processus de chargement-déchargement très rapide.


Déballage de l’Ultimaker 2

Nous avons commandé une imprimante 3D Ultimaker 2 pour notre école, pour épauler notre vénérable k8200/3Drag.

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Ultimaker est une entreprise néerlandaise, réputée pour la qualité et la fiabilité de ses imprimantes open source. Si l’Ultimaker original était vendue en kit, avec un châssis en bois, l’Ultimaker 2 est livrée montée, pratiquement prête à l’emploi, avec un châssis plastique et métal.

L’Ultimaker 2 peut être commandée à la CADEV au prix de 2450 CHF.

En comparant la taille du carton avec la Vertex K8400, on se rend compte qu’on part sur une imprimante d’une taille similaire.

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A l’ouverture du carton, on trouve un câble (européen), le mode d’emploi (en anglais, mais la version française est téléchargeable sur le site d’Ultimaker), des autocollants, le plateau de verre et une bobine de 750gr de filament de PLA bleu 3mm.

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Ultimaker ne fait pas les choses à moitié en ce qui concerne l’emballage. L’imprimante est particulièrement bien protégée. Cela laisse une très bonne impression de départ.

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Le bloc d’alimentation est énorme. Il fournit 220W en 24 Volts! Très bonne idée: un print test réalisé dans les ateliers d’Ultimaker par l’imprimante qu’on vient d’acquérir est glissé dans le carton.

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Un tube de colle… il ira rejoindre le matériel de bricolage de ma fille! Sinon, quelques outils basiques, un porte-bobine, une guide-filament, un câble USB et de la graisse se trouvent aussi dans le carton.

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Encore du carton…

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Deux sangles de plastique rouges bloquent la tête d’impression dans un coin pour éviter tout dégât pendant le transport C’est une excellente idée qui montre le soin apporté à cette imprimante. Naturellement, il ne faudra pas oublier de les enlever!

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Sous l’Ultimaker, on retrouve le numéro de série et le contrôleur, entièrement protégé par un couvercle métallique. Aucun risque qu’un élève y fourre ses doigts! C’est propre, c’est bien fait, mais tout reste démontable facilement. Celui qui veut bidouiller peut y aller sans devoir se battre contre des pièces en plastique clipsées!

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Le lit chauffant est protégé par une feuille de plastique (qui n’est pas mentionnée dans le mode d’emploi). Son retrait est particulièrement difficile et agaçant. Une feuille un peu moins adhésive et qui ne se déchire pas aurait été la bienvenue.

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Comparée à la Vertex K8400, l’Utlimaker 2 a sensiblement le même gabarit. Mais mieux conçue à l’intérieur, le volume d’impression est un peu plus élevé. Il n’y a par contre rien à voir en matière de finitions… là où la K8400 est un incommensurable fouillis de vis et de câbles, l’Ultimaker est sobre et discrète. On a l’impression de comparer un PC à un Mac…

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Pour preuve, comparons l’intérieur de la K8400 et de l’Ultimaker 2:

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Comme je l’ai dit précédemment, la colle ne servira à rien. J’ai directement recouvert le plateau de verre de Scotch bleu AVANT de calibrer l’axe Z. Comme le plateau de verre s’enlève très facilement, cette opération n’a rien de fastidieux. Je vais modifier ma K8400 pour avoir la même facilité.

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La tête, mais aussi les éléments mécaniques sont vraiment bien conçus et proprement réalisés.

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Lors du premier allumage, un wizzard nous guide pour calibrer l’axe Z et mettre le lit chauffant à niveau. C’est à la fois rapide et simple. Une carte SD de 4Go est fournie avec l’imprimante, avec des modèles prêts à imprimer. Voici le premier essai:

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Pas trop mal… mais peut faire mieux. C’est ce qu’on verra dans le prochain article.