Mois : février 2017

Oups!

Ah merde! Je suis mort et personne n’a pensé à me prévenir!


Optimiser la taille de ses vidéos avec Handbrake pour Mac

Voici une petite astuce offerte par le Radiobus: comment diminuer la taille de ses vidéos, sans sacrifier à outrance la qualité.

Dès qu’il s’agit de publier des vidéos sur Internet, par exemple sur Scolcast.ch, la taille des vidéos peut vite devenir un obstacle; en particulier lorsqu’on veut garder du full HD. Voilà une astuce toute simple pour réduire la taille des vidéos, tout en gardant une bonne qualité.

Premièrement, il faut télécharger le logiciel gratuit Handbrake.

Prenons maintenant une vidéo filmée avec un iPhone 6 et montée sur Final Cut Pro X. premièrement au format natif, on obtient un fichier de 4.09 Go.

Lors de l’exportation en 1080p, on obtient un fichier de 539 Mo:

On glisse alors le fichier 1080p directement dans Handbrake (ici avec les réglages d’origine) et on envoie la conversion:

Et on obtient enfin un fichier vidéo, de qualité pratiquement similaire, mais qui n’a plus qu’une taille de  157.3 Mo!

 

Pour comparer, voici le fichier directement exporté de Final Cut Prox X au format 1080: fichier FCPX 1080

Et voici le même après son passage sur Handbrake: fichier Handbrake

La différence se voit, mais reste minime. Or, le compromis taille/qualité offert par Handbrake est une excellente solution pour une publication sur Internet.

[EDITION 21 Fev]

Philippe Devaud, sur son blog Fri-Tic, présente la même astuce que moi… mais publiée 5 jours avant moi. Jolie coïncidence. Je lui rends donc l’honneur de la primauté. Il ajoute par ailleurs de cocher l’option Web optimized, afin de permettre un téléchargement progressif de la vidéo lorsqu’elle est destinée à être publiée sur un site web.


Vous êtes viré. Veuillez déposer votre main sur ce bureau avant de sortir.

Je lis dans un article de Futura Science que 8 employés belges de la société belge Newfusion ont accepté qu’on leur implante une puce RFID dans la main pour leur permettre l’accès aux locaux de l’entreprise. De la taille d’un grain de riz et très semblables aux puces implantées sur les animaux, ils existent maintenant en version plate et flexible.

Sans vouloir aborder ici les côtés éthiques, techniques, médicaux et de protection des données (et pourtant, il y en aurait à en dire), je m’interroge juste sur un point: quand vous êtes virés, on fait comment?

C’est bien joli de décider, à titre privé ou expérimental, de s’implanter une puce RFID (souvent réalisé par des piercer; les médecins n’étant pas très chauds à cela), mais quand c’est votre employeur qui vous le propose? Premièrement, la chose se fait hors cadre médical et légal. Et que se passe-t-il quand on vous met à la porte?
Il y a en gros trois solutions: on vous coupe la main (surtout probable si vous faites partie de la mafia ou des Yakuza). Ou alors on désactive le code de votre transpondeur et on vous laisse vous débrouiller avec ce que vous avez dans la main; à vous de faire les frais pour le retirer ou de subir d’éventuelles conséquences encore inconnues aujourd’hui, faute de recul) dans quelques dizaines d’années. Enfin, non seulement vous devez subir un licenciement, mais en plus une opération que votre employeur vous imposera, pour retirer l’implant… en espérant que dans ce cas, cela se fasse dans un milieu médical et pas dans l’arrière-boutique qui sent le cannabis du piercer qui vous l’a implantée…

Que l’acte de s’implanter une puce soit volontaire, par exemple pour payer ses consommations dans un club à la mode de Barcelone, parce que les habits qu’on porte n’ont pas de surface suffisante pour y intégrer une poche pour une carte de crédit, c’est une chose… Que ce soit un employeur, avec lequel vous avez une relation de subordination, qui vous le demande, c’est autre chose. D’abord, on ouvre les portes. Ensuite, on s’en sert pour payer son café à la machine (avec log de la consommation et des heures passées à boire du café. Enfin, si en théorie la portée de détection est courte, avec un bon émetteur-récepteur et l’antenne qui va avec, placés dans des endroits stratégiques, on pourra évaluer votre procutivité. Il reste enfin le cas de la criminalité. Pour entrer en fraude dans une entreprise, on pouvait voler ou copier des clés, extorquer des codes. Là, cela risque de devenir plus sanglant!

Pour comprendre tout cela, voici le patron de l’entreprise belge en pleine démonstration: